Lectures et rencontres au festival Voix Vives à Sète

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Retrouvez-vous moi à Sète du 22 au 29 juillet
dans le cadre de la 20è édition du festival Voix Vives.

Samedi 22 juillet
15h/16h SIESTE PAR SONS ET PAR MOTS
(lecture poétique et musicale en transat)
Jardin de la tortue, Trou de poupou (Impasse Canilhac)

Dimanche 23 juillet
19h/20h LECTURE ET SIGNES
(lecture parlée/lecture signée)
Jardin, 36 rue Paul Valéry

Lundi 24 juillet
19h/20h CORRESPONDANCES
(lecture/débat)
Terrasse du théâtre de poche, Grande rue haute

Mardi 25 juillet
15h/16h ONDES POÉTIQUES
(rencontres radiographiques en public)

Rue des trois journées (au pied de l’église St Louis)

Mercredi 26 juillet
19h/20h30 LECTURE EN BARQUE (lecture en barque sur le canal royal)
Départ des barques quai de la Résistance (au pied du café Le Tabary’s)

Jeudi 27 juillet
15h/17h DE VOIX EN VOIX
Place du livre (place du Pouffre)

Vendredi 28 juillet
18h/20h SUR LES CANAUX VERS L’ÉTANG
(étape, lecture sur la base de voiles latines)
Départ à bord du Canauxrama, Quai Général Durand

Samedi 29 juillet
18h/19h POETES, PÊCHEURS, JOUTEURS ET GENS DE LA MER
(lecture, échange, discussion)
Terrasse panoramique, 7 rue Caron

Le festival Voix Vives

Chaque année au mois de juillet, le Festival de poésie VOIX VIVES, de Méditerranée en Méditerranée accueille à Sète plus de cent poètes venus de toutes les Méditerranée. Ils sont entourés d’artistes, conteurs, musiciens, chanteurs, comédiens qui offrent avec eux une approche plurielle de la parole poétique.De nombreuses rencontres sont proposées chaque jour dans des lieux accessibles à tous : places, jardins publics ou privés, rues, lieux du Patrimoine situés dans une partie historique de la ville retenue pour être Le Village du Festival. De la voix des poètes issus d’une Méditerranée à la fois une et multiple, retentit une parole de paix, de regards sur le monde, de questionnements, de rencontres entre les cultures, de bonheur du partage.

Directe, synthétique, ronde ou crue, murmurante ou hurlante, la parole des poètes révèle d’emblée les évidences que parfois on ne sait ou n’ose formuler. Evidences enfouies dans le quotidien qui aveugle, sous la crainte qui jugule le dire. Parce que la parole des poètes crie toutes les vérités, tous les drames, tous les bonheurs, les nôtres, ceux des autres, ceux de l’autre, elle est nécessaire. Comme peut l’être l’eau à une terre desséchée, à un corps meurtri, à une bouche assoiffée.